FÉDÉRATION GÉNÉRALE DU TRAVAIL DE BELGIQUE ALGEMEEN BELGISCH VAKVERBOND SECRÉTARIAT :
SECRETARIAAT :
42. RUE HAUTE. BRUXELLES 1
HOOGSTRAAT. 42. BRUSSEL 1
ABVV 69/O0 A 24/16 GD/AS/MA -
B r u x e l l e s , l e 9 m a i1 9 6 9 .
PROCES-VERBAL DE LA REUNI ŒI DU BUREAU DU 29 AVRIL 19 6 9 .
Président
: R. DE SCHUTTER.
Présents s
H. G. R. E. V. G.
A1TBRIS, H . BRÖ0H0N, H . CEUPPMTS, G. CUYPERS, S . DAVISTER, DEBOHNE, R. DEKEYZER, A . DELOURME, J . DE ÎTOOZE., DE SCHUTTER, G. DUŒEÎT, A . GMOT, F . GOETHALS, G. GOGNE, HAMCWT, E . JAffSSMS, R . LAMBIŒf, 0 . LECLERCQ, A . RESTJÎCNT, T H I J S , D. VAÎI M E L E , R . VA1TDEPERRE, R. VERD01TCK, WALLAERT, J . YER1TA.
Excusée ;
H. ASPESLAGH, R . BALESSE, H. CASTEL, 1T. DE 33OCK, M. LEFEVRE, L . MELIS, J . OLYSLAEGERS, ¥ . SCHUGÜTS, E . TRUIETIS.
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Points t r a i t é s .
1, Communication s Assemblée générale du Secrétariat Syndical Européenf 2, Conseil Central de l'Eoonomie s projet d'avis concernant la politique des prix en rapport avec la T.V.A. 3, Assemblée libre sur les problèmes du mouvement syndioal.
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1. COMMUNICATION s ASSEMBLEE GENERALE SU SECRETARIAT SYITDICAL EUROPEEN. DËBUNNE fait "brièvement rapport sur cette réunion qui s'è^t tenue à LA HAÏS. Le mémorandum concernant le Traité Unique des Communautés Européennes, ainsi que le document de TACKE ont été approuvés. Les "pjxgvhs enregistrés à propos de l'attitude à adopter à l'égard des organisations syndicales d'orientation communiste sont très importants. La nouvelle "Confédération Européenne des Syndicats Litres" no boycottera pas une réunion qui serait organisée par la Commission des Communautés Européennes et où. seraient également invitées des organisations communistes. Ensuite5 des contacts seraient établis à l'avenir par la CSS.L avec le Comité de liaison des organisations communistes. DEI3UÏÏ1TE annonce que les résolutions votées à LA HAYTJ seront transmises aux membres du Bureau, aux Régionales et aux Centrales. - Le Bureau prend acte do cette communication.
2. CONSEIL CENTRAL DE L'ECONOMIE s PROJET D'AVIS CONCERNANT LA POLITIQUE DES PRIX III RAPPORT AVEC LA T.V.A. GENOT commente ce projet d'avis du Conseil. Cet avis semble être assez positif. Il reprend une série de nos propositions. GENOT fait des réserves à propos de certains paragraphes. Certains doivent être modifiés, d'autres doivent être supprimés. - Le Bureau est d'accord quant à cette prise de position.
3. ASSEMBLEE LIBRE SUR LES PROBLEMES DU MOUVEMENT SÏNDICAL, DEBUNNE propose de suivre la méthode de travail suivante s 1) Discussion approfondie entre membres du Bureau. Synthèse de ces activités, 2) Organisation d'un colloque avec participation de scientifiques et intellectuels.
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3) Organisation d'un sondage d'opinion parmi les travailleurs. 4) En faire une synthèse et la faire discuter dans nos différents s organes en vue d'un Congrès 1970-1971.
de ^ - C r ^ ^ i ? ^ 0 ^ tt propose de partir du rapport de la o.S.C. Il traite les mOm due ceu* qui nous intéressent ici en ce moment? GMOT est partisan d'une consultation préalable des travailleurs. veut une consultation des délégués ouvriers après la discu,-
est d'avis que nous devons aborder les choses de façon Certaines de nos positions doivent être revues. , peut-ôtre devrons-nous revoir et notre doctrine et notre "
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Fous devrons rechercher de nouvelles méthodes de travail. Il j a quelque chose qui cloche en ce qui concerne la terminologie que nous utilisons. Fous parlons en termes de 183O. Et comment parlerons-nous aux jeunes? Fous devons oeuvrer en vue d'un "nouveau départ dan3 un mouvement moderne". Pour ÏÏALLAERT, la discussion doit se dérouler comme suit s 1. S'assigner un but. 2. Quelle méthode utiliser? - rédaction d'un document à ce sujet,
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Notre document comprendrait les chapitres suivants s I. Définition, au sens marxiste, du capitalisme. II. Dans quelle société vivons-nous? III. Inventaire de l'action ouvrière - défauts - déficiences. IV. Programme - Fixation d'une structure. V. Réalisation de ce programme. Le document vise autant les activités internes qu'externes de la F.G.T.B. JAITSSEITS émet des réserves sur le sondage d'opinion. ITous disposons de nos propres centrales et sections que nous pouvons consulter. ANDEIS pense que nous pouvons organiser un sondage d'opinion parmi nos permanents. VAtTDEPERRE s après avoir décrit comme objectif à long terme la société que nous voulons, il est nécessaire que nous fixions nos orientations à moyen terme. Un colloque tel que celui proposé par DEBUTOTE peut être utile. Après que LAMBIOU" n'ait rejeté aucune des formules proposées, DEBÏÏIJITE souligne que la chose la plus importante est de discuter tous ensemble et ensuite de sonder d'autres milieux sur "base de cette discussion; nous verrons "bien plus tard si cela doit se faire parallèlement ou non. SEBUNITE trouve qu'il n'est pas facile de définir à nouveau une doctrine. Depuis Marx, il est vrai qu'on a dit "beaucoup de choses (Marcuse y compris) mais il n}j a eu personne qui ait défini une doctrine à laquelle chacun souscrit. D'autre part, la situation est telle que la rédaction d'une doctrine est en fait un acte partisan. Ce qu'il nous est possible do faire, c'est de rédiger les principes doctrinaires de "bases. Sur cette base, nous pourrons "bâtir une orientation pour notre mouvement. Après avoir esquissé convenablement les principes de base, il doit nous être possible de définir nos positions à moyen terme. , En tout cas, nous ne devons pas essayer d'embrasser tout. Nous pouvons tenir une discussion sur la déclaration de principe de la F.G.T.B, Cette déclaration est limitative et peut en tout cas Ôtre complétée. Nous ne pouvons dans ce même ordre d'idée passer sous silence ce qui se passe dans notre pays actuellement sur lo plan politique. Le syndicat doit s'adresser à l'ensemble de tous les travailleurs, dans lo sons le plus largo du mot.
- 5Nous devons parler de la démocratie politique et nous devons chaque fois définir notre tactique. Les problèmes en rapport avec l'économie - le contrôle ouvrier, la gestion, l'intégration - ainsi que ceux relatifs à l'aspect social, doivent dès lors être mis à l'ordre du jour. Ceci étant fixé, il doit naturellement être alors question des moyens - de la structure de l'organisation. DAVISTER est partisan de démarrer sur la base de quelque chose qui existe déjà, c.à.d. la déclaration de principe. VIALLAERT n'est pas d'accord sur ce point. La déclaration de principe de la F.G.T.B. a été rédigée en 1945; elle constituait un compromis entre trois tendances et à cette occasion, la porte avait été laissée entrouverte aux chrétiens. Nous ne connaissons plus cette situation et il est donc préférable de repartir à zéro. HAMONT demande ce qu'il convient de faire de l'expérience du front commun. La O.S.C. a fait un fameux bond en avant en ce qui concerne son nombre d'affiliés au cours des dernières décennies. Nous devons en analyser froidement la cause. La question de la doctrine ne doit pas être tellement soulevée; celle de la structure surtout doit l^tre. CEUPPENS estime une modernisation de notre déclaration de principe nécessaire, après 20 ans. Il y a surabondance de problèmes. Sur le plan européen, nous bloquons une discussion concernant la cogestion à l'entreprise. Discuter de manière exhaustive de tels problèmes peut être également déterminant pour notre nouvelle vision de la chose. A son avis, il est donc préférable de partir d'un point de vue pratique afin d'atteindre l'objectif. WALLA5RT consate qu'il faudra pouvoir discuter tout le régime. Pour GENOT, il est souhaitable de commencer par un inventaire des lignes de force du nouveau mouvement. En fait, notre action est maintenant orientée davantage sur le plan professionnel. Il y a certaines notions nouvelles qui exigent cependant des précisions. Il donne comme exemple la notion de partenaires sociaux. Nous devons analyser si notre intervention collective correspond bien aux principes de base que nous avons donnés à notre mouvement. On doit pouvoir s'adapter en tout cas à l'évolution rapide dâfig teutêë g©?t@§ tê domaines; telle doit Stre notre optique.
- 6LECLERCQ se rallie au point de vue de DEBUNNE. A son avis, l'analyse de la situation confirmerait notre doctrine. Faisons donc une telle analyse. DAVISTER reste favorable à im point de départ précis, si possible par écrit. Dans la déclaration de principe, nous devons dire avec précision qui nous sommes et ce que nous voulons. La discussions que nous entamons aujourd'hui peut mener à des réformes très vastes, qui mettent en jeu- notre terminologie et également notre structure. Depuis notre dernier congrès, il est important d'examiner les modifications qui se sont produites. L'état intervient de façon plus directe, il y a une série de nouveautés. C'est ainsi que notre industrie est influencée par des investissements étrangers. On parle de démocratie économique, mais jusqu'à présent, elle est restée un concept vide. ' On peut avoir l'impression que l'on procède trop vite, de sorte qu'un déséquilibre se crée entre les divers secteurs. Ce que HAMONT dit de l'augmentation du nombre de membres de la C.S.C. est juste. Nous devons étudier la question.
DELOURME également signale les modifications qui se sont produites dans notre société depuis la rédaction de la déclaration de principe. Nous devons tenir compte maintenant de la nouvelle forme de capitalisme qui s'est développée. Il y a également une économie mixte. Il y a les grandes concentrations et à côté de tout cela, on ne peut pas perdre fc de vue le problème de l'Europe. ^ Le problème du développement régional se pose d'ailleurs dans ce sens. Le rôle de l'état dans l'ensemble de la vie économique et sociale s'est sensiblement modifie. Quelle est maintenant notre réponse à la participation ? Quelle importance devons-nous attacher à la fonction consultative ? lie faut-il pas parler dans notre déclaration de principe de planification ? Nous devons rajeunir notre déclaration de principe et cette dernière doit être un guide pour notre attitude future. DEBUTJNE pense qu'à l'occasion d'une nouvelle discussion au Bureau, il pourra soumettre unptit texte pouvant servir de schéma à la discussion Ce serait une énumération de certaine sodées émises ici et en même temps il pourrait comprendre certaines propositions. ' Sur cette base, une seconde discussion peut avoir lieu et dans un troisième stade l'on peut rédiger un projet de texte.
- 7En tout cas, il semble utile de dresser un inventaire de la situation et à Cette OCCaRÎ ,1H . An nnm+n-n ~~- - L i - - L i
Dans cet ordre d'idées : - l'Etat intervient de plus en plus sur le plan économique et utilise notre terminologie sans lui donner le même contenu. - les capitaux étrangers. - les mutations rapides dans la production. - l'évolution rapide du secteur tertiaire. - le phénomène de la participation. ~ la concentration industrielle. - les problèmes européens. - l'influence de la politique monétaire internationale. oomme
alors . = * » , Lattltud. du ll democratie économique et sociale. Quid du système paritaire ? Quid du front commun ? entre le plan professionnel et interprofessionnel ?
Où se trouve la limite En ce S Concerne S
Le problème de la gestion, de la participation, du contrôle ? Quid de la fonction consultative ? L'économique est-il au service du social ? *"
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suivants
1 ) ''Vers un mouvement syndical dynamique" - document des sections régionales wallonnes. 2) Un résumé du rapport du Congrès de la O.S.C.
?! d i l^7 ^ mmai a f ™£ ^ 10n heures. T discutera à n o ^ a u ces questions, aura lieu le ^ mardi 1yo9 a
FÉDÉRATION GÉNÉRALE DU TRAVAIL DE BELGIQUE ALGEMEEN BELGISCH VAKVERBOND SECRÉTARIAT :
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4 2 . RUE HAUTE. BRUXELLES 1
HOOGSTRAAT, 4 2 , BRUSSEL 1
NOTULEN VAN DE VERGADERING VAN HET BUREAU VAN 29 APRIL 1969.
Voorzitter s R. EE SCHUTTER. Aanwezig
: H. ANDRIS, H. BROUHON, H . CEUPPENS, G. CUÏPERS E G. DEBUNNE, R. EEKEYZER, A. EELOTJRME, J . DE NOOZE* R. HE SCHUTTER, G. DUEOT, A . GENOT, F . GOETHALS, G. GOGÏJE E MMBIOT l'V. ™™>' V Ï f 5 S 2 ' S" > ° - LECLESCQ A. RESIMO T H I J S , D. VAN DAELE, THIJS D DAELE R. VANDEPERRE, R. VERDONCK
G. MLLAERT, J . ÏERNA.
Afwezig met k e n n i s g e v i n g : H. ASPESLAGH, R. BALESSE, ïï. CASTEL N TJE BOCK
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OLYSLAEGER
^ W. SCHUGENS,
Behandelde punten
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1. Mededeling : V>{Algemene vergadering van het Europees Syndikaal Secretariaat. 2. Centrale Raad voor het Bedrijfsleven : Ontwerp-advies "betreffende het prijsbeleid in verband met de BfT.¥. 3. Vrije vergadering over de problemen van de syndikale "beweging.
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1. MEIEDELING : ALGEMENE VERGADERING VAN HET EUROPEES SINDIKAAL SECRETARIAAT^ DEBUNNE "brengt in 't kort verslag uit ever deze "bijeenkomst te DEN H M G . Goedgekeurd werd het memorandum "betreffende het Eenheidsverdrag van de Europese Gemeenschappen? alsmede hot dokument van TACKE. Zeer "belangrijk is de vooruitgang ge"boekt inzake de houding tegenover de kommunistisoh georiënteerde vakbondsorganisaties. Het nieuwe "Europese Verbond van Vrije Vakverenigingen" zal geen "bijeenkomst "boycotten die door de Oommissie van de Europese Gemeensohappen zou worden ing&rioht en waarop ook kommunistisohe organisaties souden worden uitgenodigd. Verder zou in de toekomst kontakt gelegd worden door het E.V.V.V. en het Verbindingscomité van de kommunistisohe organisaties. DEBUNNE kondigt aan dat de te HEIT HAAG gestemdo resoluties aan do Bureauleden, de Gewesten en de Centrales zullen worden overgemaakt. — Het Bureau neemt akte van deze mededeling.
2. CENTRALE BAAD VOOR HET BEDRIJFSLEVEN j ONTWERP-ADVIES BETREFFENDE HET PRIJSBELEID IN VE-ttBAND MET DE B.T.W. GENOT geeft kommentaar op dit ontwerp-advies van de Raad. Dit advies "blijkt tamelijk positief te zijn. Het neemt een reeks van onze voorstellen over. GENOT maakt voorbehoud voor "bepaalde paragrafen. zigd | andere dienen geschrapt.
Sommige dienen gewij-
— Het Bureau is het .met deze stellingname eens.
3. VRIJE VERGADERING OVER IE PROBLEMEN VAN DE SINDIKALE BEWEGING. DEBTJNNE stelt voor volgende werkmethode te volgen : 1) Grondige "bespreking onder de Bureauleden. zaamheden.
Synthese van deze werk-
2) Organiseren van een colloquium met deelname van wetenschappelijk en intellektueel gevormden.
- l3) Organiseren van een opiniepeilingsonderzoek onder de arbeiders. 4) Een synthese daarover maken en doen "bespreken in onze versohillende organen met het oog op een Congres 1970-197''• DAVISTER en THIJS geven er de voorkeur aan eerst onder de Bureauleden een gesprek te voeren. Nadien volgt als het ware vanzelf de te volgen weg. Y E R M wijst op het experiment terzake van de Waalse Gewestelijke afdelingen A.B.V.V. De ""basis" dient nauw "betrokken te worden. Het A.C.V. heeft als voorbereiding van zijn oongres "Toekomst 1980" ook die weg met suooes gevolgd. VERD0M3K stelt voor uit te gaan van het A.C.V.-verslag. Het "behandelt dezelfde problemen als deze die ons hier nu aanbelangen. GEHOT is voorstander van een voorafgaandelijke raadpleging van de arbeiders. HAMOM 1 wil na de "bespreking in het Bureau een raadpleging van de ar— "beidersafgevaardigden. Daarna kan een opniniepeiling van de arbeiders zelf georganiseerd worden. • CEUPPEIIS is van mening dat we de zaken praktisch moeten aanpakken. Zekere van onze stellingen dienen wellicht herzien. LAMBIOIT ; wellicht dienen we én onze doctrine én ons programma te herzien. In dit verband rijzen er een hele reeks vragen. Wat willen we ? Moeten we de verdediging van de arbeiders niet meer ekonomisch dan sociaal opvatten ? Doen we aan integratie of niet ? Hoe staan we tegenover de E.E.G., de C.R.B., het Controleoomité van Gas en Electriciteit ? Wat met de arbeiderscontrole ? EESIMOM? denkt dat we hier een "bespreking moeten houden over onze "beginselverklaring, onze objektieven en onze strategie 5 daarover dient een verslag opgesteld. We zullen moeten uitkijken naar nieuwe werkmethoden. Er is iets niet in orde met de door ons nu gebruikte terminologie. We spreken in termen van 1830. En hoe spreken we tot de jongeren ? We moeten streven naar een "nieuwe start in een moderne beweging". Voor WALLAERT dient de bespreking als volgt te verlopen î 1. Zirvh een doel stellen. 2. Welke methode gebruiken - opstellen van dokument daarover. 3. Prooedure - waarover de arbeiders raadplegen ?
_ 4 Ons dokument zou volgende hoofdstukken he"b"ben j I. Bepaling in de marxistische zin van het kapitalisme. II. In welke maatschappij leven wij ? III. Inventaris van de arbeidersaktie - gebreken - tekortkomingen IV. Programma - vastleggen van een struktuur. V. Verwezenlijking van dit programma.
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Nadat LAIvIBIOIT geen enkele van de voorgestelde formules verworden hoeft onderstreept i M E dat het helangrijksia i s gezameïijk te S m e k e n ' en dan op grond van deze "bespreking andere milieus te peilen 5 of dat nu parallel of niet geheurt zullen wij wel l a t e r zien. OTJTOŒ vindt het niet gemakkelijk een doctrine opnieuw te hepalen. Sinds Marx is_ weliswaar nog veel gezegd geworden (l%rouse incluis) maar niemand i s er geweest die een doctrine heeft "bepaald welke door iedereen onderschreven wordt. Anderzijds is het zo dat het opstellen van een doctrine eigenlijk een partijdige daad i s . Wat voor ons mogelijk is dat is het opstellen van doctrinaire grondbeginselen. Op "basis daarvan zal het ons mogelijk zijn voor onzfheweging • een oriëntatie op te houwen. ^VJU^JJI^, M deze grondbeginselen degelijk te hehhen uitgestippeld moet het ons mogelijk zijn posities te "bepalen op middellange tormijn. In elk geval moeten wij niet trachten alles te omvatten. Wij hmneneon "bespreking houden over de beginselverklaring van het A.B.V.V. Deze verklaring i s limitatief en kan in elk geval aangevuld worden. Wi, kunnen in dit verhand niet onbesproken voorDijgaan aan wat er op het politieke vlak in ons land nu geheurt.
5 Vraagstukken in verband met de économie - de arbeiderscontrole, het beheer, de integratie - alsmedo in verband met het sociale moeten dan aan de agenda komen. Zo dat vastligt, moet er natuurlijkerwijze gesproken worden o/er de middelen - struktuur van de organisatie. D A V I S m is-voorstander van van wal te steken met iets dat bestaat in casu de beginselverklaring. ¥ALLAEKP is het daarmee niet eens.
^ ^ f i S f ^ T w 1 ^ 1 ^ ^ ï e t A-B-V-V' is ^ '45 totstand gekomen als
een vergelijk tussen drie tendensen on waarbij dan nog de deur op een kier werd gelaten voor de ohristenen. ¥ij kennen nu deze toestand niet meer en het is dus best van opnieuw te beginnen. * BAmm
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gemeenschappelijk frnnt.
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Het A.C.V. heeft aan ledenaantal geweldige sprongen gemaakt in de laatste decennia. ¥13 moeten daarvan de oorzaak eens nuchter onderzoeken. De kwestie van de doctrine dient niet zo zeer gesteld te worden maar ook en vooral onze struktuur. CEUPPEKS aoht oen modernisatie van onze beginselverklaring na 20 iaar wel noodzakelijk. Er zijn problemen bij de vleet. Op
^ h î \ ^ a k .mV a ?deE Uonderneming. ^ P a b l o k k e : r e n *id e e n bespreking met betrekking medebeheer *^-".*btot Het uit-discuteren van dergelijke zaken kan mede bepalend zijn voor onze nieuwe kijk op de zaak. Zijns inziens is het dus best van een praktisch punt uit te gaan om het doel te bereiken. ¥ALMERÏ stelt vast dat men in feite het gehele regime zal moeten kunnen be spreken. Voor GEJOT is het gewenst te beginnen met een inventaris van de krachtlijnen van de nieuwe beweging. Feitelijk is onze aktie nu meer op het beroepsvlak georiënteerd. Er zijn bepaalde begrippen die nieuw zijn en die tooh een nadere omschrijving vergen. Hij geeft als voorbeeld het begrip : sociale partners. ¥ij moeten^nagaan of ons kollektief optreden wel overeenstemt mot de basisprmoipes die wij aan onze beweging hebben geschonken. Men .moet zich in elk geval aan de snelle evolutie op allerlei gebieden kunnen aanpassen 5 dat moet onze optiek zijn. LEOLERCQ sluit zich aan bij de gedachtegang van EEBUIOE. Zijns inziens zou de analyse van de toestand onze doctrine bevestigen. Laat ons dus een dergelijke analyse maken.
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uitgangspunt, geschreven
De bespreking die wij vandaag inzetten kan leiden tot ver strekkende hervormingen, welke onze terminologie en ook onze strukturen op het spel zetten. *
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Bo Staat komt rechtstreekser tussen, er zijn een reeks nieuwigheden. Zo wordt onze industrie beïnvloed door buitenlandse investeringen. Br wordt gesproken van ekonomische demokrat i e , maar dal; i s tot nu toe een loeg hegrip gebleven. ¥ien kan do indruk hetoen dat er veel overhaast te werk gegaan wordt, zodat onevenwicht geschapen wordt tussen de verscheidene sektoren. Wat HâMOHT zegt over de aangroei van het ledenaantal van het A.O.V. i s j u i s t , riij moeten dat 'bestuderen. Ook IELOïïRME wijst op de grondige wijzigingen die zich hetoen voorgedaan m nnze maatschappij sinds de opstelling van do beginselverklaring. Wij moeten rekening houden nu met de niouwe vorm van kapitalisme die zich heeft ontwikkeld. Er i s ook de gemengde ekonomie. ,rt+ •+ >, ; o n o e n t r a ; i e s e n "bij dat alles mag het Europees prom e t uit het oog worden verloren. Het probleem van de streekontwikkeling stelt zich ton andere in die zin. De rol van de Staat in het gehele ekonomischo en sociale goheuren is gevoelig gewijzigd. Wat is ons antwoord nu op do participatie ? Welk "belang moeten wij hoohten aan de adviserende funktie ? Dient er inon»beginselverklaring niot gesproken te worden van planifioatie ? Wij moeten once beginselverklaring "verjongen" en onse nieuwe beginselverklaring moet een gids zijn voor onze toekomstige houding. WBUm denkt dat ter gelegenheid van een nieuwe "bespreking in het Bureau hij een tekstje kan voorleggen dat als schema voor de discussie kan dienstig zijn. Het zou een opsomming zijn van zekere hier geopperde ideeën en tevens zekere voorstellen inhouden. Op hasis daarvan kan een tweede "bespreking plaatsgrijpen.en in oen derde stadia zou een projekt van tekst kunnen worden opgesteld.
- 7 In elk geval "blijkt het nuttig een inventaris te maken van de toestand en daarbij vooral oog te hebben voor de wijzigingen die zich hebben voorgedaan. In dit verband : - de Staat komt meer en meer tussen op het ekonomisoh vlak en gebruikt onze terminologie zonder er dezelfde inhoud aan te ge-vorx. - de vreemde kapitalen. - snelle mutaties in de produlctie. - snelle evolutie van de tertiaire soktor. - het fenomeen van de participatie. - de industriële concentratie. - de Europese vraagstukken. - de invloed van de internationale monetaire politiek. De beginselverklaring dient niet als dusdanig te worden hernomen, maar wij dienen de ideeën ervan te "bespreken en te zien of ze nog dienstig zijn. Ean dient men te onderzoeken hoe de "beweging staat t.o.v. do "begrippen politiek j economische en sociale demokratie. Wat met het paritair systeem ? Wat met het gemeenschappelijk front ? Waar ligt de grens tussen het professionele en interprofessionele vlak ? Wat betreft de ekonomisohe demokrati t h«uding -to bepalen t.o.v. planificatie — regionalisatie ? ? beheer?van de p a r t i c i p a t i e , van de controle ? met de adviserende funktie ? Het ekonomische i s in dienst van het sociale ? *oet ook hoofdge¥
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s t e l t de kwestie van de struktuur in onze beweging.
^tussenkomst van ÏEE1TA werd besloten aan al de leden de volgende dotumenten te laten geworden , 1/ "Ifear een dynamische vakbewSng . ^ » U W J . U U U C vcw^ut; neming" — dokument van de Waalse Gewestelijke Afdelingen. 2/ Een samenvatting van het verslag van het A.C.V.-congres» De volgende bijeenkomst waarop deze kwesties opnieuw zullen worden behandeld zal plaatsgrijpen op dinsdag 27 mei 1969 te 10 uur.