FÉDÉRATION GÉNÉRALE DU TRAVAIL DE BELGIQUE ALGEMEEN BELGISCH VAKVERBOND SECRÉTARIAT t 42, RUE HAUTE, BRUXELLES
SECRETARIAAT : HOOGSTRAAT 4 2 , BRUSSEL
79/00 A?. B r u x e l l e s , l e 10 mai 1979
GÎI/'IJ/AJ
Serv. Dact.
FR0CES-VTSR3AI.
DE LA IHUÏÏIOJ
lïU BUREAU
DU G ÏIAI 1979,
Président
: F . VYT.
Présents
: H. J. II. G. G. P. L. P. R.
E;ccusés
: J . DE HOOZE, P . PATRIE, J . C . V/^IDERIEÎERSil, J . V/iîI DER VEKEU.
AKDRIS, 3 . BAUDET, K. BOEÏKENS, H. CARPENTI2R, CIIENOY, P . CRAÎJil, G. DEBUNNE, 7 . DECOSTER, DSLPBRRIEiri, A. DELOURÏIE, C. D3TI3SE, G. DERIEUÏ-J, EUHHI, J . FOITTADJE, J . GiïETOT, II. GILLOÎT, G0G2JE, E . EûilOMT, . 1 . H0H^3, I I . H00RII/ÜST, JAITSSSJS, A. LACROIX, A. LAISILLE, R. LELOUP, IIELIS, J . iîOI)I3:3R3S, J . OLYSLAEGERS, A. TIÎYRE, VAN DE CALSEYDE, A. VMDMT BROUCI^, A. VAII UYTVH'J, VERDONCK, E . V33GÜLT, P . VYT, J . YER1ÎA.
-:(•
TRAITES
1. Presse socialiste. 2. Elections européennes. 3. Situation générale. 4. Elections sociales. 5. Prochaine réunion du Bureau.
•K-
2.-
1. PR33S3 GOCIALISTÏ
G. DEBUIINE demande que le Bureau examine en priorité le problème de la presse socialiste car des décisions importantes doivent intervenir dans les prochains jours. La situation est par ailleurs différente si l'on examine la situation de la presse francophone et celle de la presse néerlandophone. Pour la presse francophone» Pour déposer son bilan, le journal Le Peuple doit disposer d'une somme de 12,6 millions. Sn ce qui concerne le Journal ds Charleroi, la même somme est nécessaire pour le dépôt du bilan, avec la caractéristique particulière qu'à défaut, certaines personnes pourraient être directement citées on responsabilité. Au total, il faut donc 2<. millions et il convient de constater que cette somme correspond aux subsides prévus pour 1979 par les différentes organisations socialistes. Ceci implique donc qu'il n'y aurait pas de nouvellesdépenses pour la 7.G.T.B. en 1979. G. DÜBUlTirj signale également que certains voudraient utiliser une partie des sommes prévues pour procéder à des investissements et à des restructurations mais qu'une telle solution implique des garanties pour un certain nombre d'années au niveau des subsides versés par l'Action commune socialiste. Cette dernière solution n'a d'ailleurs pas été reprise par le Bureau du Parti, lequel estime, pour divers motifs, qu'il convient d'utiliser les 2<- millions pour le dépôt des bilans. G. SSBUHITS insiste toutefois sur le fait que seuls les conseils d'administration des deux journaux sont compétents pour prendre ces décisions. Pour la presse néerlandophonc Le journal De Ilorgen doit faire face à des difficultés de trésorerie. Il e::iste à cet égard deux possibilités : - soit un prêt direct au niveau de l'Action commune - soit la garantie donnée par l'Action commune à un prêt consenti par CODBP. G. DEBU1TÎTJJ est favorable à la deu:cième solution.
3.-
ün conclusion, G. 3)HBU1IMI! demande l'accord du Bureau - pour l'affectation du subside 1979 au dépôt des bilans du côté francophone - pour que la F.G.T.B. (en plus du subside versé normalement pour 1979) puisse se porter garant pour 10 millions de l'emprunt à consentir par CODEP, du côté néerlandophone. Après diverses questions posées par les Camarades V/vtJ UYTVEtï, DECOSTER, LACROIX, CHELÏOY et une intervention du Camarade LELOUP qui estime qu'il doit être possible de mettre certains moyens en commun et de sortir un nouveau quotidien en opérant les restructurations nécessaires, le Bureau marque son accord sur les propositions du Secrétaire Général. Les Camarades VAÎI UYTVHI et DSCOSTER font toutefois certaines réserves en ce qui concerne la garantie du prêt consenti au journal De îlorgen. Ils estiment notamment que ceci doit être assorti de certaines assurances en ce qui concerne l'orientation syndicale du journal et de certaines informations sur le plan financier.
2. ELECTIONS 3ÜR0PEÏ2JNES.
G. DEBUIIÎI" pose diverses questions en rapport avec les élections européennes. En ce qui concerne le financement du fond électoral, le Bureau maintient-il sa décision de ne pas intervenir? En ce qui concerne la propagande, le Bureau maintient-il la position en vertu de laquelle la F.G.T.B. ne fait pas de propagande directe en faveur du parti socialiste ? Et cela même si deux syndicalistes figurent en dernier rang sur les deux listes du Parti. C'est en tout cas la position défendue par le Secrétariat. A. VANDEÎI BROUCKE et A. Vffl UYTVHI insistent sur l'importance des élections européennes pour le mouvement syndical et donc sur l'intérêt qu'il y a d'aider le parti dans la campagne électorale. Si la F.G.T.B. se doit de jouer un rôle important au sein de la C.E.S., il est tout aussi important qu'elle essaye de peser sur l'instrument politique qui doit concrétiser les positions syndicales. Au moment où l'Europe comptè'-plus de six millions de chômeurs, nous ne pouvons rester indifférents.
4.-
F. JAIISSSHS et E. Hfc'IOHT constatent que le Secrétariat a adopté une position conforme à la ligne suivie jusqu'à présent et estimant qu'il ne convient pas de revenir sur celle-ci. J. GATSTOT est bien sûr d'accord avec la position exprimée • au niveau du Secrétariat et signale qu'il n'y a pas eu de concertation entre le Parti et l'Interrégionale vrallonne sur l'opportunité de faire figurer un syndicaliste sur la liste; l'Interrégionale a été placée devant le fait accompli. H. AITDRIS estime qu'il n'y a pas d'incompatibilité entre le fait d'être candidat pour le Parti sur une liste de celui-ci et sa qualité de syndicaliste. F. DECOSTSR signale qu'il consultera à ce sujet son Comité exécutif. En conclusion, le Bureau décide : - pour le fonds électoral : pas d'intervention de la F.G.T.B. en tant que telle, mais les Centrales sont libres d'y contribuer - pour la propagande : pas de propagande directe dans les pages réservées à la F.G.T.B, mais les Centrales sont maîtres des pages qui leur sont réservées.
3. SITUATION GENERALE.
G. D3BÏÏU1I5 rappelle que la note 79/00 A23/25 fait l'inventaire des points de la déclaration gouvernementale qui doivent faire l'objet d'une concertation avec les interlocuteurs sociaux. Il signale à cet égard que le premier contact tripartite aura lieu le 22 mai et souligne l'intérêt qu'il y a de rencontrer la C.S.C. au préalable, au niveau des deux Secrétariats. Il rappelle également qu'il n'est pas disposé à se laisser entraîner dans des négociations partielles, de façon telle que des conclusions partielles puissent être dégagées au mois de juillet. Il faut, selon lui, préparer 1980, discuter de l'ensemble des problèmes, c'est-à-dire emploi et réduction du temps de travail, réforme de la sécurité sociale, politique fiscale, réformes de structures pour déboucher sur des solutions efficaces sur tous ces plans pour le 1er janvier 1980.
5.E. HAIIOÎIT souligne qu'il y a une concertation spécifique prévue avec les représentants des services publics tandis que H. VERDOIICK insiste sur l'urgence d'un statut pour les chômeurs mis au travail par les pouvoirs publics. Le Bureau marque son accord sur les orientations définies par le Secrétaire Général.
ELECTIONS SOCIALES.
G. D3BUH1IE signale qu'il dispose de chiffres qui ne donnent pas une orientation définitive mais qui sont suffisamment indicatifs car ils concernent 701 C.2. et 1.071 O.S.H., soit 29 '/ par rapport auxchiffres globaux de 1975• La situation se présente comme suit en ce qui concerne les voix, pour les entreprises à finalité industrielle par rapport à 1975 : C
Tp
.
C.S.H.
Bruxelles - 1.23 , Flandre . - 2,65 r) Uallonie - 4,13 . Bruxelles - 0,0 •/ Flandre - 1,18 , Wallonie : - 1,98,
G. DEBlMJül insiste sur le fait que ces chiffres ne donnent pas une orientation définitive et que les dernières informations indiquent la possibilité d'un léger redressement. Il apparaît toutefois dès à présent que - 10 à 11 ^ des bulletins de vote sont blancs ou nuls - on vote pour des personnes - le panachage est néfaste à la P.G.T.B. Le Bureau procède alors à un tour d'horizon de la situation dans les différentes régions et différents secteurs professionnels. Participent à la discussion, P. CRAÎEÎ, F. DECOST'LR, E. VERGULT, J. OLYSLAEGERS et R. VBRDONCK, ce dernier insistant pour que l'on procède immédiat eurentt à une enquête exhaustive sur les résultats.
6.-
5. paccH&Bn REUNION
DU BUREAU.
En raison du Congrès de la C.E.S. et de la réunion du Comité Permanent de l'Emploi, il n'y aura pas de réunion les mardis 15 et 22 mai. La prochaine réunion du Bureau se tiendra le 29 mai, saufconvocation urgente.
FÉDÉRATION GÉNÉRALE DU TRAVAIL DE BELGIQUE ALGEMEEN BELGISCH VAKVERBOND SECRÉTARIAT « 42, RUE HAUTE, BRUXELLES
SECRETARIAAT : HOOGSTRAAT 42. BRUSSEL
79/00 A 24/16 GD/EÏJ/UL
Dienst Dakt.
Brussel,
10 m e i 1 9 7 9 .
NOTULEN VAN DE BUREAUVERGADERING VAN 8 HEI 1 9 7 9 .
Voorzitter Aanwezig :
: P . VYT H. J. 11. G. G. F. L. F. R.
Verontschuldigd
ANDRIS, E . BAUDET, IC. BOEYKENS, H. CARPENTIER, CHENOY, P . CRAliLI, G. DEBUNNE, P . DECOSTER, DELFERRIERE, A . DELOURUE, C. DENISSE, G. DERIEUÏÏ, DUHIN, J . FONTAINE, J . GAYETÜT, R. GILLON, GOGNE, E . HAIIQMP, I I . HOENS, M, HOORNAERT, JANSSENS, A . LACROIX, A . LADRILIE, R . LELOUP, LIELIS, J . IIONSEREZ, J . OLYSLAEGERS, A. THYRE, VAN DE CALSEYDE, A . VANEEN BROUCKE, A. VAN UYTVEN, VERDONCK, E . VERGULT, F . VYT, J . YERNA. : J . DE NOOZE, F . PATRIE, J . G . VANDERLÏEEREN, J . VAN DER VEKEN.
-x-
BEHANDELDE PUNTEN
\\*~
1. Socialistische pers.
>L \\Q 2. Europese verkiezingen. toestand.
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)*) 4 . Sociale verkieaingen. ü
5» Volgende Bureauvergadering.
2.-
1. SOCIALISTISCHE PERS.
G. DEBUME vraagt dat het Bureau eerst het vraagstuk van de socialistische pers zou onderzoeken, omdat in de komende dagen belangrijke beslissingen moeten vallen. De toestand is overigens verschillend voor vat de franstalige en de nederlandstalige pers betreft.
Franstalige pers. Cm zijn balans neer te leggen moet het dagblad "Le Peuple" over een bedrag van 12 miljoen kunnen beschikken. Voor "Le Journal de Charleroi" is eenzelfde bedrag nodig voor het indienen van de balans, met dit detail echter dat als dit niet gebeurt, bepaalde personen rechtstreeks verantvjoordelijk zouden kunnen v/orden gesteld. In totaal is dus 24 miljoen nodig. Er dient vastgesteld dat dit bedrag overeenstemt met de subsidies die de verschillende socialistische organisaties-voor 1979 zouden storten. Dat betekent bijgevolg dat er voor het A.3.V.V. geen bijkomende uitgaven voor 1979 zouden ontstaan, G. DEBUNNE stipt eveneens aan dat sommigen een deel van de voorziene bedragen zouden willen gebruiken voor investeringen en herstruktureringen. Een dergelijke oplossing vergt echter garanties voor een aantal jaren voor wat de subsidies vanwege de Gemeenschappelijke Socialistische Aktie betreft. Het Partijbureau heeft trouwens die laatste oplossing niet overgenomen, omdat het om verschillende redenen van mening is dat de 24 miljoen aangewend moeten worden voor het neerleggen van de balansen. G. DEBUME wijst er nochtans op dat enkel de twee Raden van Beheer van beide kranten bevoegd zijn om die beslissing te nemen.
Nederlandstalige pea»s. Het dagblad "De Morgen" heeft te kampen met likwiditeitsmoeilijkheden. Er zijn twee mogelijkheden : - ofwel een direkte lening op het niveau van de Gemeenschappelijke Aktie - ofwel een waarborg van de Gemeenschappelijke Aktie voor een lening bij CODEP. G.
DEBUNNE is voorstander van de tvreede oplossing.
3.Tot slot vraagt G. DEBUNNE de instemming van het Bureau - om de subsidie 1979 "te besteden aan het neerleg/ren van de "balansen aan franstalige kant - opdat het A.B.V.V.(naast de normale toelage voor 1979) zich borg zou kunnen stellen voor een leningsbedrag van 10 miljoen bij CODEP, aan nederlandstalige kant. Nadat verschillende vragen werden gesteld door de Kameraden VAN UYTVEN, DEC03TER, LACROIX, CHENOY vraagt Kameraad IELOUP het woord. . Hij is van. mening dat het mogelijk moet zijn om bepaalde middelen te bundelen en een nieuwe krant uit te geven d.m.v. de nodige h er st rukt ur er ingen. Daarna stemt het Bureau in met de voorstellen van de AlgemeenSekretaris, De Kameraden VAN UYTVEN en DB30STER maken toch enig voorbehoud i.v.m. de waarborg voor de lening aan Ds Morgen. Zij menen meer bepaald dat dit gepaard moet gaan met bepaalde zekerheden nopens de syndikale gerichtheid van de krant en met bepaalde informaties op financieel vlak.
2. EUROPESE VERKIEZINGEN. G. DEBUNNE stelt verscheidene vragen in verband met de Europese verkiezingen. Hij vraagt meer bepaald of het Bureau bij zijn beslissing blijft om niet bij te dragen tot de financiering van het kiesfonds. Handhaaft het Bureau zijn standpunt in verband met de propaganda nl. dat geen rechtstreekse propaganda gevoerd wordt voor de socialistische partij ? Zelfs al staan txvee vakbondsleiders als lijstduwer op de lijsten van de twee socialistische partijen. A. VANDEN BRQUOKE en A. VAN UYTVEN benadrukken het belang van de Europese verkiezingen voor de vakbeweging; wij hebben er dan ook belang bij de partij in haar verkiezingskampagne te steunen. Als het A.B.V.V. een belangrijke rol moet spelen in het E.V.V., dan is het even belangrijk dat zij poogt druk uit te oefenen op het politieke instrument dat de vakbondsposities in werkelijkheid moet omzetten. Op een ogenblik dat Europa meer dan 6 miljoen werklozen telt, kunnen wij niet lijdzaam blijven toezie-n.
4.F. JANSSENS en E. HAM OUT stellen vast dat het Sekretariaat een standpunt heeft ingenomen dat overeenstemt met de totnogtoe gevolgde lijn; ze zijn van oordeel dat die niet meer herzien moet worden. J. GAYETOT. gaat uiteraard akkoord met het standpunt van het Sekretariaat. Hij stipt aan dat tussen de partij en de Waalse Intergewestelijke geen overleg heeft plaatsgehad over de i^enselijkheid een vakbondsleider op de lijst te plaatsen. De Intergewestelijke vferd voor een voldongen feit geplaatst. •H. ANDRIS meent dat er geen onverenigbaarheid bestaat tussen kandidaat zijn op een lijst van de partij en vakbondsleider zijn. F. DECOSTER stipt aan dat hij terzake zijn Uitvoerend Komitee zal raadplegen. Tenslotte neemt het Bureau volgende beslissing : - voor het kiesfonds : geen bijdrage vanwege het A.B.V.V. als dusdanig; het staat de Centrales echter vrij dat wel te doen. - voor de propaganda : geen rechtstreekse propaganda in de voor het A.B.V.V. voorbehouden bladzijden; de Centrales doen met hun bladzijden wat zij wensen.
3. AIJGEMENE TOESTAND. G. DEBUME! herinnert eraan dat nota 79/00 A 23/25 een inventaris biedt van de punten uit de regeringsverklaring waarover met de sociale gesprekspartners overlegd moet worden. In dat verband stipt hij aan dat een eerste driepartijenbijeenkomst • plaatsheeft op 22 mei. Hij wijst op het belang van een voorafgaande ontmoeting met het A.C.V. op Sekretariaatsniveau. Hij drukt er tevens op dat hij niet van plan is zich te laten meeslepen in deel-onderhandelingen, zodat gedeeltelijke konklusies in de maand juli zouden kunnen tot stand komen. Volgens hem moet nu reeds gewerkt worden aan de voorbereiding van 1980, en moet gesproken worden over alle problemen, met name de tewerkstelling en de werktijdverkorting, de hervorming van de sociale zekerheid, het fiskaal beleid, de structuurhervormingen, ten einde te komen tot doelmatige oplossingen op al die vlakken tegen 1 januari 1980.
5.E. HAM ONT wijst erop dat met de vertegenwoordigers van de openbare diensten een specifiek overleg gepland i s ; R. VERDONCK beklemtoont dat spoedig een statuut moet worden uitgewerkt voor de door de overheid tewerkgestelde werklozen. Het Bureau betuigt zijn instemming met de door de Algemeen-Sekretaris aangegeven o r i ë n t a t i e s .
4. SOCIALE VERKIEZINGEN. G. DEBUME s t i p t aan dat h i j over c i j f e r s beschikt die, hoewel ze nog ver van definitief zijn, toch reeds voldoende aanwijzingen bevatten. Het gaat immers om 701 O.R. en 1 .071 K.V.G.. dit is 29 io van de t o t a l e c i j f e r s van 1975. Ten opzichte van 1975 ziet de s i t u a t i e in stemmen-aantal voor de ondernemingen met industriële f i n a l i t e i t er a l s volgt uit : O.R. : Brussel Vlaanderen Wallonië
- 1,23 f - 2,65 f -4,13 i
K.V.G. : Brussel Vlaanderen Wallonië
- 0,8 f - 1,18 $
- 1,98 i
G. DEBUNNS wijst erop dat die cijfers nog niets definitiefs bevatten en volgens de laatste berichten zit de mogelijkheid van een lichte verbetering er in. Toch blijkt nu reeds dat - er 10 à 11 % ongeldige of blanco stembiljetten zijn - voor personen wordt gestemd - bontstemmen in het nadeel van het A.B.V.V. s p e e l t . Het Bureau onderzoekt vervolgens de toestand in de verschillende gewesten en beroepscentrales. Mengen zich in de diskussie P. CRAISl, F. DEC03TER, E. VERGUUT, J . OLYSIAEGERS, en R. VERDCNCK, Laatste spreker dringt erop aan dat onmiddellijk een onderzoek naar het waarom van derscultaten zou worden ingesteld.
6.5. VOLGENDE BUREAUVERGADERING. Wegens het E.V.V.-Kongres en de vergadering van het Permanent Tewerkstellingskomitee zal op 15 en 22 mei geen Bureauvergadering plaatsvinden. Behalve dringende omstandigheden heeft de volgende Bureauvergadering plaats op 29 mei.