RENCONTRE AVEC LA PRESSE AGIR CONTRE L’EXCLUSION 25 grandes entreprises s’engagent concrètement Le vendredi 12 septembre 2014 Syntra RDC/GLV, Koninklijk Pakhuis Entrepôt Royal, Avenue du Port 88 1000 Bruxelles -----------
Compilation des articles parus le 12 & 13 septembre 2014 Belga La Capitale La Libre Belgique L’Echo Le Soir Metro Sudinfo La Libre.be Rtbf.be Trends.be
BELGA (NL)
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[email protected][SMTP:
[email protected]] Verzonden: vrijdag 12 september 2014 14:25:10 Onderwerp: Twintigtal bedrijven bestrijdt sociale uitsluiting met kleinschalige concrete acties Automatisch doorgezonden volgens een regel BIN072 3 ECO 1469 N BELGA-.... THD BEDRIJVEN/SOCIAAL/MAATSCHAPPIJ/SHORT/ Twintigtal bedrijven bestrijdt sociale uitsluiting met kleinschalige concrete acties BRUSSEL 12/09 (BELGA) = Zowat 3,5 jaar bestaat Be.Face nu, een vereniging van 25 veelal grote bedrijven die de krachten bundelen om sociale uitsluiting tegen te gaan in de hoofdstad. Inschakeling van kwetsbare groepen op de arbeidsmarkt en sociale begeleiding zijn daarbij de hoofdassen. De organisatie is gestoeld naar Frans model, bleek vrijdag tijdens de voorstelling. Martine Aubry, huidig burgemeester van Rijsel, richtte in 1994 Face op, voluit de "Foundation de Agir Contre l'Exclusion". Een 4.000-tal Franse bedrijven telt Face nu, dat actief is in 65 Franse steden, aldus Be.Face-voorzitter Marc Janssens de Varebeke. Het initiatief dat de "burgerzin" en sociale verantwoordelijkheid van bedrijven aanspreekt, waaide in 2010 over naar België. Nu is Be.Face actief in Brussel, maar de organisatie kijkt ook naar steden in Vlaanderen en Wallonië. Be.Face werkt altijd samen met lokale partnerorganisaties zoals buurthuizen. Die kunnen bijvoorbeeld rekenen op financiële of materiële hulp en vrijwilligers uit de 25 bedrijven. En er zijn ook verschillende vormingsinitiatieven, bijvoorbeeld voor werklozen. Ook worden voor kwestbare groepen informatiesessies georganiseerd over energiebesparingen of verzekeringskwesties. Naast grote bedrijven als Belgacom, BNP Paribas, l'Oréal, Electrabel, Ethias of Infrabel, maakt ook voetbalclub RSC Anderlecht deel uit van Be.Face. Zo is er een initiatief voor jongeren die schoolmoe zijn uit de Brusselse Noordwijk. Die kunnen woensdagnamiddag trainen met trainers van RSCA, op voorwaarde dat ze presteren op school. Ander voorbeeld is ExperiLAB van Solvay, een vrachtwagen volgestouwd met wetenschappelijke proeven waarmee het chemiebedrijf jongeren warm wil maken voor de wetenschap. ./. THD/WDM/ ./. 121425 SEP 14
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Entreprise / Emploi Be.Face peut compter sur un réseau de vingt-cinq entreprises. La paupérisation est une triste réalité à Bruxelles. Elle l’est encore plus dans le quartier Nord (près de la gare du Nord), où est née, voilà quatre ans, Be.Face; avec "be" pour Belgique et "Face" pour Fondation pour agir contre l’exclusion. Aujourd’hui, ce sont quelque vingt-cinq entreprises qui ont répondu à l’appel, conscientes que la responsabilité sociale peut et doit prendre d’autres chemins que le mécénat, par exemple. L’ambition de Be.Face est à la fois simple et compliquée. Simple, car il s’agit "de favoriser l’insertion professionnelle de publics fragilisés", dit Marc Janssens de Varebeke, directeur. Compliqué, car Be.Face a besoin d’un réseau d’entreprises pour agir concrètement contre l’exclusion. "Nous regrettons ne pas collaborer avec plus de PME , souligne Bernard Janssens de Varebeke. Quand on s’adresse à des personnes fragiles et sous-qualifiées, il est plus facile de trouver un emploi dans une PME." Activités multiples Les activités de Be.Face sont multiples. C’est par exemple le parrainage "Emploi et formation". Le but n’est pas de trouver un emploi, mais bien de coacher une personne pendant huit mois pour augmenter ses chances sur le marché de l’emploi en lui prodiguant les meilleurs conseils. Il y a également la formation pratique en entreprise. "Tout le monde estime que la formation en alternance est l’un des meilleurs leviers pour l’insertion professionnelle" , relève le directeur de Be.Face, tout en constatant que la formule a des ratés en Belgique. Il y a encore de nombreuses opérations d’insertion. L’une d’elles est "Foot école", organisée en collaboration avec l’Athénée Yourcenar et le Sporting d’Anderlecht. "L’objectif de l’initiative est de s’attaquer au décrochage scolaire" , souligne Pierre Desmet, general manager de la Fondation Constant Vanden Stock. Kompany en exemple Trente jeunes - "les plus fragiles parmi les plus fragiles" - peuvent s’entraîner chaque mercredi après-midi sur un terrain appartenant au Sporting. L’équipement leur est fourni. "Leur participation est conditionnée aux résultats scolaires et à leur présence à l’école." Ce qui permet de faire chuter sensiblement le taux de redoublement. Il est vrai que Vincent Kompany, originaire du quartier Nord, est un exemple qui les motive. C’est aussi l’entreprise Solvay, qui amènera prochainement son XperiLAB dans le quartier. Pendant nonante minutes, les yeux d’enfants de 10 à 14 ans brillent car ils peuvent faire des expériences de leurs propres mains. "L’objectif est de générer des vocations" , remarque Christian Résimont, président du comité de pilotage. C’est encore le concept "Pim", mis en œuvre dans les maisons de quartier de la Ville de Bruxelles. Le but est d’expliquer des choses simples. "Nous expliquons par exemple comment utiliser rationnellement l’énergie", témoigne Karim Tafranti, coordinateur. Ce sont aussi des séances pour expliquer l’intérêt de souscrire à certaines assurances, comme la RC familiale. C’est Ethias, partenaire, qui les prodigue. "Les contenus doivent être neutres." Be.Face y veille.
RTBF.BE
TRENDS.BE (FR)
Une vingtaine d'entreprises s'associent pour l'insertion des publics fragilisés Trends Tendances 12/09/2014 à 14:35 Né il y a quatre ans en Belgique, sur un modèle français, le réseau Be.Face, un groupement "d'entreprises socialement responsables", comporte aujourd'hui 25 sociétés, dont l'objectif est de "mutualiser leurs moyens pour concrétiser sur le terrain leur démarche Responsabilité sociale des entreprises (RSE)". Plusieurs initiatives ont été présentées vendredi lors d'une conférence de presse à Bruxelles. © BE.Face Le réseau Be.Face est le pendant belge de FACE, créé en France en 1994 et qui compte aujourd'hui 4.000 entreprises réparties dans 50 villes, précise Filip Van Mullem, responsable communication. Sept ou huit entreprises en Belgique se sont rassemblées sur base volontaire en 2010, et leur nombre atteint à présent 25, parmi lesquelles L'OREAL, Solvay, Securitas, le RSC Anderlecht, Belgacom, BNP Paribas Fortis, Ethias, AG Real Estate, Infrabel ou GDF Suez. L'objectif est de "rapprocher les entreprises de leur environnement social, en agissant autour de deux axes: l'insertion socioprofessionnelles (parrainage, formation en alternance...) et l'insertion sociale. Dans cette dernière optique, des entreprises envoient par exemple leurs employés "faire du volontariat dans une association plutôt que d'organiser un team building", précise M. Van Mullem. Il y a selon lui aujourd'hui "une réelle volonté de la part de la génération Y (personnes âgées de 16 à 29 ans, ndlr) de faire les choses autrement et d'intégrer l'aspect humain au monde de l'entreprise". De nos jours, "la relation entre croissance économique et bien commun n'est plus évidente. Un des défis majeurs auxquels nous sommes confrontés est celui de concilier le dynamisme de l'économie de marché et la justice sociale", ajoute un communiqué. Le réseau peut aussi compter sur ses organisations partenaires, parmi lesquelles se trouvent entre autres Bruxelles FormationTremplin Jeunes, les Maisons de Quartier de la Ville de Bruxelles, le Musée Magritte, la Louvain School of Management mais aussi la Maison de l'Emploi et de la Formation de Bruxelles Ville. Plusieurs projets ont été développés dans le cadre de ce réseau, comme l'initiative "Foot-école", offrant des entraînements par des professionnels du RSCA à des jeunes en décrochage scolaire pour les pousser à s'investir dans leur scolarité. Ces jeunes doivent en contrepartie s'engager à fournir un effort et fréquenter une école de devoirs. De son côté, "Bright Future" offre à des étudiants universitaires ou en Haute-école, reconnus "fragilisés financièrement" par le bureau social, de bénéficier d'un mentor et coaching durant plusieurs mois. Par ailleurs, l'asbl Be.Face met aussi en place des Points d'Info Multiservices (PIM) et des actions en partenariat avec les Maisons de Quartier, les CPAS et des membres "pour aider des publics précarisés et les associations qui les accompagnent à 'consommer malin' et à 'réduire leurs dépenses'". (Belga) News Trends-Tendances dans votre flux Facebook