Oktatási Hivatal
Országos Középiskolai Tanulmányi Verseny 2012/2013. tanév
Francia nyelv II. kategória 2. forduló Javítási-értékelési útmutató
Hallott szöveg értése 1. Vous allez entendre une interview sur les taxis français. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Puis, vous entendrez le texte deux fois. Mettez un V pour les réponses vraies et un F pour les réponses fausses. 1.
Rien qu’à Paris, il y a 50 000 chauffeurs de taxi.
2.
En France, on applique les mêmes tarifs partout.
3.
Quand on monte dans un taxi, le compteur part de 6,20 euros.
4.
Les tarifs ne sont pas les mêmes le jour et la nuit.
5.
Les lettres qu’on voit sur le toit des taxis indiquent combien de passagers peuvent prendre le taxi.
6.
Prendre le taxi coûte au minimum 6,20 euros.
7.
Si on voyage avec plusieurs valises, on paye plus.
8.
Si on prend le taxi à 4, on peut payer plus.
9.
Si on prend le taxi à l’aéroport, on paye le même tarif qu’en ville.
10.
Les animaux peuvent être acceptés, mais avec un supplément.
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V
V
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Transcription En France, on compte 50 000 chauffeurs de taxi. Une réglementation bien précise encadre cette profession. Comment détermine-t-on le prix de la course ? Quelles sont les majorations légalement applicables ? Chaque taxi est obligatoirement équipé d’un compteur qui fixe le prix de la course. En revanche, les tarifs varient selon les départements. La course est déterminée d’abord par la prise en charge. C’est le montant qui apparaît sur le compteur en début de course, qui est compris entre 1,45 et 3 euros. Ensuite, c’est le tarif kilométrique-horaire qui s’applique et qui fluctue selon les heures du jour et de la nuit. Il est indiqué sur le compteur par les lettres A, B, C ou D. Enfin, le chauffeur de taxi doit indiquer par le voyant lumineux situé sur le toit de son taxi la tranche tarifaire qu’il applique. Le coût minimal d’une course est aujourd’hui de 6,20 euros. La liste des suppléments tarifaires qui peuvent être appliqués dans certains cas est bien définie. En ce qui concerne les valises, sachez que la première est gratuite. Pour le quatrième passager, il peut vous être appliqué un surcoût de 3 euros. Sachez que si la course débute dans un port, une gare ou un aéroport, le chauffeur peut vous appliquer un supplément tarifaire. Si vous désirez voyager avec votre animal de compagnie, sachez que le chauffeur est en droit de le refuser sauf s’il s’agit d’un chien-guide pour aveugles. Enfin, vous avez le droit de demander une note, quel que soit le montant de la course de taxi. N’OUBLIEZ PAS : * Le prix d’une course est fixé par le compteur du taxi. * Il existe un tarif jour et un tarif nuit. (http://www.conso.net/video/visionneuse_conso.php?videoDocIdy=25943)
2. Vous allez entendre une émission de la série « Bermuda & panama ». Avant les écoutes, lisez les questions. Puis, vous entendrez le texte deux fois. Répondez aux questions. 11.
Parce qu’il n’avait pas d’autre modèle. / Parce que les caractères imprimés n’existaient pas encore. / Parce qu’il n’avait que des textes manuscrits. (Toute réponse ayant le même contenu.)
12.
Parce qu’il utilisait des caractères gothiques que les autres Européens lisaient difficilement. / Parce ses caractères étaient illisibles pour les Européens, mis à part les Allemands. / Parce que ses caractères étaient tellement anguleux/bizarres que les Européens avaient du mal à les lire. (Toute réponse ayant le même contenu.)
13.
Parce qu’ils ont été créés dans une abbaye près de Rome. / Ce sont les Italiens qui réforment les caractères de Gutenberg. (Toute réponse ayant le même contenu.)
14.
Parce qu’il voulait diffuser le savoir. / Pour publier autant de livres que possible. (Toute réponse ayant le même contenu.)
15.
Parce qu’il n’avait pas de compétence technique (pour tailler les caractères). (Toute réponse ayant le même contenu.)
16.
Parce qu’il voulait imprimer des livres en petit format et les caractères penchés prennent moins de place. / Parce que grâce aux caractères penchés on pouvait imprimer des livres plus petits / économiser du papier. (Toute réponse ayant le même contenu.)
17.
Parce qu’il voulait faire une bonne affaire. / Il voulait tirer un bon profit de l’invention des italiques. (Toute réponse ayant le même contenu.)
18.
Parce que d’autres imprimeurs ont très vite copié ces caractères. (Toute réponse ayant le même contenu.)
19.
Pour faire ressortir la différence entre deux choses. (Toute réponse ayant le même contenu.)
20.
Parce qu’il a baptisé « aldino » des caractères qu’il n’avait pas créés. / Parce qu’il a trompé Francesco Raibolini. / Parce qu’il n’a rien inventé. (Toute réponse ayant le même contenu.)
Transcription L’italique, une petite coquetterie vénitienne. Ce sont les Italiens qui inventèrent ce caractère d’imprimerie. Par souci esthétique, mais aussi pratique… et même lucratif. Notre série « Bermuda & panama ». Nous sommes en 1454. Gutenberg invente l’imprimerie. Ou plutôt la typographie. Objectif : reproduire mécaniquement des textes qui jusque-là étaient manuscrits, copiés et recopiés à l’infini. Lorsqu’il crée les caractères mobiles de sa machine, Gutenberg s’inspire donc directement des caractères de l’écriture manuscrite. Bien évidemment, à l’époque, il n’a pas d’autre modèle. Mais Gutenberg vit en Allemagne et, depuis deux ou trois siècles, les Allemands ont une calligraphie quelque peu différente de celle utilisée dans le reste de l’Europe. Ils ont pris l’habitude de casser les arrondis de l’alphabet latin. Le trait est plus anguleux. C’est l’écriture gothique. Gutenberg, soucieux de reproduire l’écriture manuscrite, crée donc des caractères d’imprimerie gothiques. L’invention de Gutenberg conquiert rapidement toute l’Europe. Le principe de l’imprimerie fait l’unanimité, mais les caractères que propose Gutenberg laissent perplexes. En effet, en dehors du Saint-Empire germanique, ce n’est pas du tout ainsi que l’on écrit et on se donne de la peine pour déchiffrer les lettres gothiques. Qu’à cela ne tienne. Il suffit de dessiner d’autres caractères, plus proches de l’écriture manuscrite telle qu’elle se pratique en France ou en Italie. Il semble que ce soient les Italiens qui s’y mettent les premiers, vers 1460, dans une abbaye proche de Rome. C’est ainsi que naissent les caractères romains – les caractères les plus classiques, que nous utilisons toujours aujourd’hui et qui sont à l’origine de nos fameux Times New Roman. À Venise, l’imprimeur s’appelle Aldo Manuzio. C’est un érudit, passionné d’auteurs anciens, et il veut publier autant que possible pour diffuser le savoir. Il n’a cependant aucune compétence technique. Pour confectionner ses caractères d’imprimerie, il fait appel à un graveur, un tailleur de poinçons : Francesco Raibolini. Francesco n’est pas un simple ouvrier. C’est un véritable artiste qui grave de magnifiques alphabets. Et un jour, il propose à Aldo un alphabet légèrement incliné vers la droite. Aldo, l’imprimeur est très intéressé par cet alphabet penché. Il est en train de concevoir des livres de petit format – ce ne sont pas encore des livres de poche, mais ça s’en rapproche. Or, il s’avère qu’avec ces caractères penchés, on peut mettre plus de texte par page et ainsi économiser du papier. En 1501, dans le tout premier livre qu’il publie avec ces caractères, Aldo l’imprimeur remercie d’ailleurs Francesco, le graveur, de les avoir inventés. Mais, dans les mois qui suivent, il les baptise « caractères aldino », d’après son propre prénom « Aldo », flairant sans doute la bonne affaire. Et il obtient du doge, puis du pape, d’en avoir l’exclusivité. Tout compte fait, il en tire un grand profit. Ce privilège ne dure pas bien longtemps parce que ces caractères penchés sont tellement novateurs, tellement utiles aussi, qu’ils vont être rapidement copiés. D’abord en France où, comme ils viennent d’Italie, on les appelle logiquement « les italiques ».
À l’époque, des livres entiers sont imprimés en italique tandis que d’autres continuent d’être entièrement imprimés en romain. C’est Christophe Plantin, à Anvers, qui a l’idée de mêler les deux pour signifier des choses différentes. Désormais, grâce à Plantin, quelle que soit la police que l’on choisit, il y a donc des caractères droits, les romains, et des caractères penchés, les italiques. L’Histoire retiendra qu’Aldo Manuzio, l’imprimeur de Venise, ne peut se prévaloir ni de l’un ni de l’autre : il n’a pas inventé l’italique et il n’avait pas un caractère droit. Retrouvez la série « Bermuda & panama » sur Radio Première, chaque matin vers 9h15. Christophe Masuy raconte comment un nom de lieu est entré dans la langue. (http://www.rtbf.be/lapremiere/)
3. Vous allez entendre un reportage sur une histoire qui s’est passée à Quévy, en Belgique. Vous entendrez le reportage deux fois. Pendant les écoutes, prenez des notes. Ensuite, écrivez le résumé de l’histoire. Votre résumé doit contenir les éléments suivants : victime et événement de départ (3 points) réaction de la mère de la victime (1 point) punitions (2 points) réaction des parents et leur argument (2 points) décision juridique finale (1 point) décision des parents (1 point) Toute réponse ayant le même contenu peut être acceptée. 21-23. Après une bagarre, un groupe de garçons enferme un camarade dans les toilettes et l’un d’entre eux le prend par la gorge. 24. La mère de la victime porte plainte auprès de la direction de l’école (car son fils a des blessures au cou). 25-26. Après la punition de l’école, le conseil communal oblige les enfants à rédiger une rédaction (intitulée Je ne dois pas suivre les mauvais conseils de mes camarades). 27-28. Les parents des enfants punis contestent cette décision en disant que les enfants ne peuvent pas être punis deux fois pour le seul et même acte. 29. Le Conseil d’État maintient la punition et condamne les parents à payer près de 500 euros de frais de procédure. 30. Toutefois, les parents des enfants agresseurs ne comptent pas lâcher l’affaire. Transcription Présentateur
Retour en Belgique avec une punition qui a retenu notre attention.
Reporter
Les faits se sont déroulés dans la cour de récréation. C’était il y a un an. Tout est parti d’une bagarre dans les toilettes de l’école communale. Un groupe de garçons enferme alors un camarade dans les toilettes. L’un d’entre eux le prend par la gorge et fait semblant de l’étouffer. L’école punit les enfants. Mais quelques jours plus tard, la maman du garçon agressé s’adresse à la direction de l’école car son fils a des marques de strangulation, des blessures au cou. L’affaire est jugée assez grave et passe devant le conseil communal. Conséquences : après la punition de l’école, le conseil communal décide également d’intervenir. Tous les enfants qui ont participé de près ou de loin aux faits reçoivent donc une seconde punition. Pendant les vacances, ils doivent rédiger une rédaction intitulée « Je ne dois pas toujours suivre les mauvais conseils de mes petits camarades. »
Responsable du conseil communal
Ce que nous avons fait au niveau du conseil communal, après avoir appris les faits, c’est que nous avons décidé de donner, disons, un devoir de vacances aux enfants, et ce qu’ils devaient faire, c’est un petit devoir de vacances de dix lignes pour réfléchir, en fait, à leurs actes.
Reporter
Mais voilà, les parents des enfants punis ne comprennent pas cet acharnement. Ils prennent donc un avocat et contestent la punition
devant le Conseil d’État, la plus haute juridiction administrative du pays. Une mère
Le conseil communal a puni les enfants alors qu’ils avaient déjà été punis par la direction de l’école. À cette punition-là nous ne nous sommes pas opposés du tout. Mais pourquoi est-ce que le Conseil communal les punit une seconde fois ? Je n’ai jamais vu en Belgique qu’un condamné ait été puni deux fois pour la même chose.
Reporter
Le Conseil d’État a maintenu la punition et parle de l’exercice à vertu éducative. Les parents, de leur côté, ont été condamnés à près de 500 euros de frais de procédure. Les enfants devraient donc se mettre à l’écriture dans les prochains jours. Mais les parents que nous avons appelés ce matin ne comptent pas lâcher l’affaire... (http://www.rtbf.be/info/regions/detail_un-college-communal-inflige-une-punition-a-un-eleve-de-10ans?id=7781870)
Nyelvi teszt 1. Mettez les verbes entre parenthèses à la forme qui convient. 1. avoir été volé 2. datant 3. désirant 4. a rapidement été identifié / a été rapidement identifié / a été identifié rapidement 5. avaient plusieurs fois tenté / avaient tenté plusieurs fois 6. a été placé 7. attend 8. être rendu 9. possédait 10. avait demandé 11. avait déclaré 12. être mise 13. être retrouvées
2. Mettez dans le texte le pronom qui convient.
14.
15.
16.
17.
18.
19.
20.
21.
m’
tout
y
en
les
m’
en
en
3. Certains mots du texte ci-dessous ont été enlevés. Retrouvez-les en vous basant sur le mot donné entre parenthèses qui est de la même famille que le mot recherché. 22. folie 23. monopolise 24. hurlements 25. émission 26. séparément 27. faveurs 28. popularité 29. vainqueur 30. irrésistible
Íráskészség Értékelje a feladatokat a versenyző fogalmazási lapján. Használja az érettségi jelölési rendszerét és jelölje + jellel az ötletgazdagságot, a nyelvi gazdagságot és a szókincsgazdagságot! Jelölje értékelési szempontonként a javasolt pontszámokat! Többletpont nem adható. A javított feladatot lássa el aláírásával! Az íráskészség-mérő pontszámot írja rá a feladatlapra! Íráskészség 1. kategória feladat: Értékelje a feladatot 6 x 5 fokozatú skálán! Tartalmi elemek (5 pont), szövegalkotás (5 pont), nyelvhelyesség (5 pont), nyelvi gazdagság (5 pont), szókincsgazdagság (5 pont), gondolati és ötletgazdagság (5 pont). Értékelési szempontok rövid magyarázata:
Tartalmi elemek 5 pont: A feladatban megjelenő összes paramétert figyelembe vette, ezeket megfelelő részletességgel dolgozta ki, a fogalmazás hosszúsága eléri a megadott szószámot, és azt 20 szónál többel nem haladja meg. 4 pont: a tanuló valamennyi irányító szempontot kidolgozta, de az irányító szempontok kidolgozása nem teljesen arányos. A fogalmazás hosszúsága eléri a megadott szószámot, azt 30 szónál többel nem haladja meg. 3 pont: a tanuló 4 irányító szempontot részletesen és arányosan kidolgozott. A fogalmazás hosszúsága megközelíti a megadott minimális szószámot (annál legfeljebb 20 szóval rövidebb) vagy legfeljebb 40 szóval haladja meg. 2 pont: a tanuló 3 irányító szempontot arányosan kidolgozott, vagy 4 irányító szempontot kidolgozott ugyan, de azok kidolgozása teljesen aránytalan. A fogalmazás hosszúsága legfeljebb 40 szóval elmarad az elvárt szószámtól vagy a maximális szószámot 50 vagy annál több szóval meghaladja. 1 pont: a tanuló 3-nál kevesebb irányító szempontot dolgozott ki megfelelően, és/vagy több irányító szempontot is kidolgozott, de a szöveg tartalmi szempontból csak részben felel meg a feladatban kérteknek, és/vagy a létrehozott szöveg hossza nem éri el a minimálisan kívánt szószám felét (125 szót). 0 pont: a tanuló félreértette a feladatot, a szöveg tartalmi szempontból egyáltalán nem felel meg a feladatban előírtaknak.
Szövegalkotás: 5 pont: a fogalmazás szövegének felépítése logikus, a szövegkohézió tökéletes: a mondatok szervesen kapcsolódnak egymáshoz, változatos szövegkohéziós elemeket használ (névmások, kötőszók, stb.), van jól elkülönülő bevezetés, tárgyalás és befejezés. Stílusa tökéletesen megfelel a feladat által megkívántnak.
4 pont: a fogalmazás szövegének felépítése logikus, de a mondatok nem mindig kapcsolódnak szervesen egymáshoz, használ szövegkohéziós elemeket (névmások, kötőszók, stb.), és/vagy van bevezetés, tárgyalás és befejezés, amelyek valamelyest elkülönülnek egymástól. Stílusa megfelelő, bár helyenként nehézkes. 3 pont: a létrehozott szöveg összességében érthető, gyakran nem használ szövegkohéziós elemeket, de a szöveg érthető marad, és/vagy a bevezetés, tárgyalás és befejezés megfigyelhető, de nem különülnek el határozottan egymástól. Stílusa csak részben felel meg a feladat által megkívántnak. 2 pont: a szöveg megértését többször gátolja a szövegkohéziós elemek hiánya, a mondatok gyakran nem kapcsolódnak szervesen egymáshoz, és/vagy a szerkesztés hiányos: valamelyik fő rész (bevezetés, tárgyalás, befejezés) hiányzik. Stílusa nem felel meg a feladat által megkívántnak. 1 pont: a fogalmazás gyakran nehezen vagy alig érthető, szövegkohéziós elemeket nem vagy csak nagyon ritkán használ, álláspontja, gondolatmenete logikátlan, követhetetlen. 0 pont: a szöveg egyes részei érthetetlenek, a használt mondatszerkezetek nem követhetők, a megértést időnként lehetetlenné teszik.
Nyelvhelyesség: 5 pont: a szöveg nyelvtani és helyesírási szempontból kiváló. Nem tartalmaz súlyos nyelvtani hibát. Legfeljebb néhány apró hibát tartalmaz. A mondatok minden esetben érthetőek, nem fordul elő rossz mondatszerkezet. 4 pont: a szövegben vannak kisebb, nem súlyos, a megértést nem zavaró nyelvtani és helyesírási hibák. A mondatok minden esetben érthetőek, nem fordul elő rossz mondatszerkezet. 3 pont: a szövegben gyakoriak a nyelvtani hibák. Rossz mondatszerkezet is előfordul. 2 pont: a szövegben vannak jól érthető részek, de előfordulnak súlyos vagy a megértést nehezítő hibák, és/vagy gyakran használ rossz mondatszerkezetet. 1 pont: a szövegben nagyon sok a súlyos vagy a megértést gátló nyelvtani és helyesírási hiba, egyes részei alig érthetők, és/vagy nagyon sok a mondatszerkesztésből fakadó hiba. 0 pont: a nyelvtani és mondatszerkesztésbeli hibák a szöveget egészében vagy nagy részben érthetetlenné teszik. Súlyos nyelvtani hibának tekinthető: - az alany és az állítmány egyeztetésének hibája - rossz segédige választása - jelen idejű ragozás tévesztése (igetövek ismeretének hiánya, személyragok helytelen használata) - participe passé alakjának és être-rel képzett passé composé egyeztetésének tévesztése - függő beszéd helytelen használata és igeidők egyeztetési hibái - főnévi igeneves szerkezetek helytelen használata - igemódok és igeidők helytelen képzése, értelemzavaró használata Súlyos nyelvtani hibáért 1 pont levonható!
Nyelvi gazdagság: 5 pont: igen gyakran használ bonyolultabb nyelvtani alakokat és szerkezeteket, pl. subjonctif, conditionnel, passif. Gondolatait logikusan megszerkesztett összetett mondatokban fejezi ki: használ következtető, megengedő, ellentétet kifejező, stb. mondatszerkesztési eljárásokat. A használt szerkezetek változatosak, sokrétűek. 4 pont: nagyrészt bonyolultabb szerkezeteket használ, pl. subjonctif, conditionnel, passif, de sok esetben fogalmaz egyszerű szerkezetek használatával, és/vagy gyakran alkalmaz összetett mondatokat, de időnként egyszerű mondatokban fejezi ki mondanivalóját, és/vagy a bonyolultabb szerkezetek használatakor sok az ismétlés (pl. nagyrészt passzív mondatok). 3 pont: bár időnként használ bonyolultabb szerkezeteket, többnyire egyszerű nyelvtani szerkezeteket alkalmaz, és/vagy csak ritkán fogalmaz összetett mondatokban, és/vagy bonyolultabb szerkezetekből csak néhányat használ, azok ismétlődnek. 2 pont: nagyon ritkán használ bonyolultabb nyelvtani szerkezeteket. Nagyrészt egyszerű mondatokban fogalmaz. 1 pont: csak egyszerű nyelvtani szerkezeteket használ, és/vagy szinte kizárólag egyszerű mondatokban fogalmaz. 0 pont: a fogalmazás nyelvi szempontból rendkívül szegényes.
Szókincsgazdagság: 5 pont: a szöveg szókincse gazdag, változatos és adekvát, az alapszókincset nagy mértékben meghaladja. 4 pont: a szöveg szókincse megfelelő, de nem különösebben gazdag és/vagy gyakori ismétlődéseket tartalmaz. 3 pont: a szöveg szókincse nem különösebben gazdag, és/vagy a szóhasználat néha nehezíti a megértést. 2 pont: a szöveg szókincse nem haladja meg az alapszókincset és/vagy szóhasználata a szöveg megértését gyakran nehézzé teszi. 1 pont: szókincse szegényes és szóhasználata a szöveg megértését nehézzé teszi. A rossz szóhasználat miatt a szöveg egyes részei érthetetlenek. 0 pont: nagyon gyakran válik a szöveg érthetetlenné, nehezen érthetővé vagy nevetségessé a rossz szóhasználat miatt.
Gondolati és ötletgazdagság: 5 pont: a megalkotott szöveg ötletes, fantáziadús, eredeti. A tanuló saját szempontjait elfogadtatja az olvasóval. A tanuló témáról alkotott álláspontja egyértelműen kiderül a szövegből. Az érvelés releváns, jól követhető, nincsenek benne ellentmondások vagy logikai ugrások. Gondolatmenete logikus, érthető, nincsenek benne ellentmondások. 4 pont: a tanuló többségében ötletes, fantáziadús szöveget alkot, gondolatmenete viszonylag világos és a szöveg nagy részében jól követhető. A tanuló témáról alkotott álláspontja egyértelműen kiderül a szövegből. A megalkotott szövegben a tanuló saját szempontjait elfogadtatja az olvasóval. Gondolatmenetében nincsenek ellentmondások.
3 pont: a tanuló túlságosan általános szöveget, szinte kizárólag kliséket, sablonokat fogalmaz meg, nem ötletes, és/vagy a szöveg gondolatmenete időnként nehezen követhető, és/vagy gyakran vannak nem alátámasztott kijelentések, és/vagy a tanuló nézőpontja, a témáról kialakított álláspontja nem derül ki egyértelműen a szövegből. 2 pont: a feladat megoldása sablonos, ötlettelen és/vagy érdektelen, és/vagy a megalkotott szöveg gondolatmenete nehezen követhető, kusza, zavaros, és/vagy gyakran vannak a témához szorosan nem kapcsolódó megállapításai, és/vagy a tanuló nézőpontja nem érzékelhető, és/vagy a tanuló csak részben értette meg a feladatot. 1 pont: a szöveg teljességgel érdektelen és gondolatmenete gyakran követhetetlen, és/vagy alig érinti a témát. 0 pont: a létrehozott szöveg teljes egészében másról szól, mint amit a feladat utasítása előírt.